Quoi de plus rapide que le Travail de Byron Katie pour retrouver l'Equilibre et la Joie...Initiez-vous :
Avec Sylvie Boute, psychopédagogue, depuis 7 ans au service de la diffusion du Work auprès des enfants, des adolescents et des adultes de tous âges.



Nous proposons, en TARIF modulable selon les ressources, des STAGES d'initiation et d'approfondissement du Travail de Byron Katie + des CONSULTATIONS, et sur ce blog de nombreux sujets...avec les "retournements".

25 juin 2011

Qu'est-ce qu'une croyance ?

Combien de fois entendons-nous :
Les sens...nos informateurs
sur une Réalité
"Ça, ce n'est pas une croyance, c'est la Réalité !"

Et souvent par les mêmes personnes qui peuvent encourager
à remettre en question les croyances.

La Réalité, avec un grand R !
 un grand "air"...?
Et de quoi a-t-elle l'air, la Réalité ?

Je suis toujours étonnée dans tous les groupes
de voir que même devant une évidence qui pourrait sembler absolue,
il y a au moins une personne qui n'est pas d'accord !
En classe, quand une consigne est donnée,
il y a au moins un élève qui ne fait pas ce qu'on lui dit !

Bienvenue aux "contradicteurs" !
N'est-ce pas là, la manifestation de la bienveillance de l'Univers
qui laisse toujours une porte ouverte à la remise en question, la croissance...

Sauf que, bien souvent, on préférerait le consensus :
"TOUT LE MONDE D'ACCORD !"
Et bien Non !
L'Univers ne semble pas être favorable au consensus !
Ou peut-être l'est-il ? :
"TOUS D'ACCORD !"
Et si c'était la réalité vraie ?

Et si on était toujours "d'accord" par nature ?
mais simplement nous Humains, ne reconnaissons pas toujours "l'accord" ?
On ne sait pas toujours qu'un NON peut être un OUI déguisé...
On ne sait pas toujours qu'un OUI peut être un NON déguisé...
On ne sait pas toujours qu'un "PEUT-ÊTRE" c'est peut-être L'ÊTRE QUI PEUT"...
Question de temps...
Question de savoir consulter, savoir communiquer...
Question de confiance...

Un exemple récent :
Nous cherchions une évidence collective et consensuelle.

"Nous avons un corps physique"
Est-ce une croyance ?
Sur 12 personnes, 2 n'étaient pas d'accord avec cette affirmation :

L'une disant :
- Nous avons plusieurs corps physiques.
L'autre :
- Nous n'avons pas de corps physique.

Humanité merveilleuse !
Naturellement, ce que Byron Katie appelle "retournements",
sont présents dès que l'on converse avec quelqu'un.

Observons cette affirmation à la lumière des retournements :
(Les mots opposés peuvent varier d'une personne à une autre
...pas de consensus...
ouvrez-vous à vous-même)

J'ai un corps physique.
Je n'ai pas de corps physique...
J'ai plusieurs corps physiques...
J'ai un corps mental/chimique/psychique...
J'ai un(e)... (contraire du mot corps ?)...illusion, faux...physique...
Je suis un corps physique...
Un corps physique a "je"...(âge?...)...
J'ai un corps de pensées physiques...

Mes pensées "non questionnées" , mes convictions qui ne bougent pas d'un iota,
seraient-elles celles qui donnent une forme à mon corps ?
La densité, la forme de mon corps serait-elle en relation avec des pensées qui ne" dansent plus".

Laissez-vous voyager dans les multiples informations
qui peuvent remonter, ou pas, à la surface devant chaque affirmation
contenue dans la première.
Et demandez-vous :
"Laquelle est la plus vraie aujourd'hui ?"
Y-en aurait-il plusieurs ?

Alors, qu'est-ce qu'une croyance ?

Sylvie

"Jugez votre Voisin" offre une "guidance pour soi"

RAPPEL IMPORTANT 
Pour ceux qui ont suivi le Stage DIAMANT


(Cet article peut sembler hermétique à ceux qui n'ont pas suivi le Stage)

La feuille "Jugez votre Voisin" est excellente pour poser 
tout ce qui vous dérange dans le monde et chez les autres.
Vous pouvez, si vous le souhaitez,
questionner toutes les affirmations contenues dans ce document.
C'est un peu long mais très fructueux pour un éclairage
de fond en comble sur une" histoire"

Sinon, questionnez une affirmation contenue dans la question 1
et n'oubliez pas d'utiliser les réponses aux questions 2,3,4 et 5 avec le retournement vers "je"
pour recevoir "la guidance intérieure", l'ordonnance pour le Bonheur...
(Nous l'avons fait ensemble)

Avec l'habitude, qui peut venir très vite, vous pouvez vérifier
si tous les bons conseils que vous avez pour les autres et le Monde
ne sont pas pour vous en premier.


Si vous avez des jugements contre vous-même,
ou des pensées qui  vous "enlèvent de l'énergie",
vous pouvez utilisez cette même feuille pour questionner
mais le retournement que vous ferez pour connaître "la guidance intérieure"
dans les questions 2,3,4 et 5 sera moins facile à reconnaître :

(Lisez plus lentement pour bien comprendre)

Comme vous ne pourrez retourner vers "je" puisque 'je" est déjà sur le papier,
transformez simplement la phrase en son contraire !
Et exercez-vous à y reconnaître les avantages...

Si vous fixez votre regard sur les avantages de toute situation,
vous vivez déjà dans le Monde Nouveau.

Vous trouverez sur notre blog plusieurs articles
qui peuvent vous intéresser
et particulièrement :


Questionner avec le "Work" apporte de plus en plus d'éclairage
sur soi, les autres et le monde.
C'est un processus naturel de Paix.
Nous sommes heureux de l'avoir partagé avec vous.
Utilisez-le et transmettez-le quand il peut être bien reçu.

N'oubliez pas qu'il peut être une "arme" terrible.
"Est-ce que c'est Vrai ?" n'est pas recevable par tout le monde.
Poser cette question une deuxième fois, cela peut être risqué...

Ne prenons jamais la "vérité" pour acquise, 
car elle ne l'est peut-être pas.
Elle peut être changeante, furtive, surprenante, toujours renouvelée, belle, inconnue.
Elle peut arriver comme un éclair
et faire jaillir la compréhension, la beauté, la liberté.

Renouvelez l'expérience du "Work" chaque fois que vous êtes dérangé,
et vous pouvez même l'essayer sur toutes vos convictions.

Sylvie

"Jugez votre Voisin", le Questionnement de Byron Katie

Feuille de Travail 
Jugez-Votre-Voisin 


J u g e z   v o t r e   v o i s i n     •
M e t t e z   c e l a   p a r   é c r i t     •
P o s e z   l e s   q u a t r e   q u e s t i o n s     •  
Re t o u r n e z   l a   p e n s é e

Pensez à une situation stressante répétitive,
une situation habituellement stressante
même si elle n'est survenue qu'une fois
et se répète seulement dans votre mental.

Avant de répondre à chaque question ci dessous,
prenez le temps de revisiter mentalement le moment et le lieu de cet évènement stressant.
 Ne soyez ni poli, ni gentil, ni sage.

1.  Dans cette situation, à ce moment et à cet endroit, 
qui vous fâche, vous bouleverse ou vous déçoit, et pourquoi ?

Je suis .............................................avec................................... parce que...........................
                              émotion                                  nom

Exemple : Je suis en colère contre Paul parce qu'il contredit tout ce que je dis.

2. Dans cette situation, comment voulez-vous que cette personne change ? 
Que voulez-vous qu'elle fasse?

Je veux que ........................................................fasse/soit ..............................................................                                                                                                                                                    
                                    nom

Exemple : Je veux que Paul voie quʼil a tort. Je veux quʼil sʼexcuse.

3. Dans cette situation, quel conseil pourriez-vous donner à cette personne ?

................................devrait / ne devrait pas..................................................................

Exemple : Paul devrait prendre davantage soin de lui-même.
Il ne devrait pas me contredire. Il devrait arrêter de mentir.
Il devrait se rendre compte que j'essaie seulement de l'aider.

4. De façon à ce que vous soyez heureux dans cette situation, 
qu'avez vous besoin que cette personne pense, dise, ressente ou fasse?


J'ai besoin que......................................................................................................................
                           nom

Exemple : Jʼai besoin que Paul mʼécoute. J'ai besoin que Paul me respecte.

5. Que pensez-vous de cette personne dans cette situation? 
Faites une liste.
.............................est  ...................................................................................................
          nom

Exemple : Paul est méchant, arrogant, bruyant, malhonnête, déplacé et inconscient.


6.  Dans ou à propos de cette situation qu'y a t-il dont vous ne souhaiteriez plus faire l'expérience?


Je ne veux plus jamais ...................................................................................................

Exemple : Je ne veux plus jamais me sentir déprécié par Paul.
Je ne veux plus le voir fumer et ruiner sa santé.

Les quatre questions


Exemple : Paul ne mʼécoute pas.

1. Est-ce que c’est vrai?
2. Pouvez-vous absolument savoir que c’est vrai?
3. Comment réagissez-vous, que se passe-t-il, quand vous croyez cette pensée?
4. Qui seriez-vous sans la pensée?

Retournez la pensée
a) à lʼopposé. (Paul mʼécoute.)
b) vers lʼautre. (Je nʼécoute pas Paul.)
c) vers soi. (Je ne mʼécoute pas.)

Et trouvez trois exemples authentiques, précis, 
de la façon dont chaque retournement est vrai pour vous dans cette situation.
A chaque retournement, posez la question : "Est-ce que ça peut être Vrai aussi ?"

22 juin 2011

“Le Work sert-il uniquement à nous faire accepter les choses ?

"Quand on comprend la nature du "Mental",
la souffrance ne peut plus exister."

 “Le Work sert-il uniquement à nous faire accepter les choses ?

Cette erreur d’interprétation du Travail est fréquente et bien compréhensible.
 Comme le remarque Katie, dire que « nous devrions accepter les choses »
 ne fait qu’ajouter une autre histoire, une autre philosophie ou une autre religion et cela n’a jamais marché.
Le Travail ne décrète pas ce que quelqu’un devrait faire ou ne pas faire.

Nous posons simplement la question :
 « Comment réagissez-vous lorsque vous vous disputez avec la réalité ?
Qu’est-ce que cela vous fait ? »
Le Travail explore la cause et l’effet de notre attachement aux pensées douloureuses,
et dans cette investigation nous trouvons notre liberté. »

Voici un exemple qui pourrait être utile.

Si mon père critique ma vie et que je me contente de dire que je devrais l’accepter,
 il est peu probable que j’en tire quelque soulagement durable.
Le problème demeure en tant que circonstance extérieure qui me contrarie
et que je tente d’éviter ou d’éloigner de moi.

Avec le Travail il se produit quelque chose de différent. 
Tout d’abord, je note le problème par écrit :
Je suis en colère contre mon père parce qu’il est trop critique.
Puis je pose les questions.

Il ne devrait pas me critiquer autant — est-ce que c’est vrai ?
Oui c’est vrai, il ne devrait pas me juger comme ça.
Ça me rend  dingue.

Pouvez-vous être absolument sûr que c’est vrai qu’il ne devrait pas vous critiquer autant ?
(Êtes-vous au courant de son chemin de vie,
et comment il devrait ou ne devrait pas être critique à ce moment précis ?)

Eh bien, je ne peux pas absolument savoir qu’il devrait être différent de ce qu’il est.
Je veux dire, c’est comme ça qu’il est, donc je suppose que c’est là son chemin.

Ceci est la première conséquence produite par le Travail :
Nous voyons que ce que nous avons cru comme absolument vrai peut très bien ne pas l’être.
Le monde entier pourrait être d’accord (« Les pères ne devraient pas critiquer »),
cela ne rend pas la chose vraie en réalité.

En réalité les pères sont parfois critiques.
 Ils l’ont toujours été. C’est cela qui est vrai.

Les nouveaux venus au Travail peuvent se dire : « Oui, ils sont critiques, mais ils ne devraient pas l’être. »
C’est maintenant que la troisième question peut être si révélatrice.
Comment réagissez-vous lorsque vous avez cette pensée ? :
« Mon père ne devrait pas être aussi critique »

Ça me met en colère.
J’éprouve du ressentiment envers ses critiques, son avis, ses certitudes de savoir mieux que moi.
Je me renfrogne, je l’évite.
Je me plains de lui à mes amis.
Je n’écoute pas ce qu’il a d’autre à dire,
et quand je suis avec lui je me tais ou parfois je le brusque.

Qu’est-ce que ça vous fait ?
Je me sens assez moche.

Lorsque nous croyons que les pères ne devraient pas être critiques,
cette croyance engendre colère, ressentiment et séparation.
De tels effets ne proviennent pas de leurs jugements à eux —
quelqu’un d’autre pourrait les prendre pour des conseils avisés,
ou simplement pour une opinion.
Quelqu’un d’autre encore pourrait les trouver amusants.
Mais lorsque nous nous attachons à la croyance qu’ils ne devraient pas agir comme ils le font,
nous sommes en guerre avec la réalité,
et nous perdons (« mais seulement dans 100 % des cas » dit Katie).

C’est comme si on disait que le ciel ne devrait pas être bleu. 
Regardez le ciel, dites-vous à vous-même qu’il devrait être vert 
et vous ressentirez l’absurdité de cette déclaration. 
(Cet exercice est très intéressant pour les nouveaux venus au Travail.) 
Aussi absurde que cela puisse paraître lorsqu'on l’applique à la couleur du ciel, 
c’est pourtant ce que nous faisons quotidiennement avec notre entourage. 
C’est violent, et nous en ressentons l’effet à l’intérieur de nous-mêmes en tant que stress.

Le Travail ne nous dit pas d’accepter les choses comme elles sont.
Nous n’avons pas à accepter que le ciel soit bleu ou que nos pères nous jugent.
Nous pouvons nous disputer avec cela.
Nous pouvons essayer de changer le monde
pour le faire correspondre à nos croyances sur ce qu’il devrait être.
C’est ce que les gens ont fait depuis toujours.
Est-ce que cela a marché ?

À travers l’investigation nous voyons que quand nous croyons que
quelque chose devrait être différent de ce qu’il est,
nous expérimentons un stress et cette chose nous l’appelons une erreur.

En réalité, c’est notre façon de penser qui cause le malaise. 
La quatrième question nous aide à voir cela plus clairement :

Qui seriez-vous sans cette pensée « Mon père ne devrait pas me juger » ?
(Il peut être utile de fermer les yeux et de voir la scène vivante de votre père en train de vous juger.)
Qui seriez-vous si vous ne croyiez pas qu’il ne devrait pas le faire ?

S’il me jugeait et si je ne croyais pas qu’il ne doit pas le faire
je le regarderais exactement de la même manière
que si je voyais une vague se briser ou un chien aboyer.
Ce serait O.K.
Une sorte d’amusement, en réalité.
Je me contenterais de le voir en train de me donner son opinion
de la seule manière qui lui soit possible.
Je pourrais même voir cela comme sa manière de prendre soin de moi.

Vient alors le retournement,
une occasion d’élargir l’esprit jusqu’à explorer des perspectives et des possibilités
qui nous échappaient lorsque nous nous attachions à une croyance limitée.

« Mon père ne devrait pas me critiquer » — retournons cela.

Mon père devrait me critiquer.
Oh ! Je vois maintenant.
Il devrait me critiquer parce que c’est ce qu’il est,
et mes argumentations contre cela ne peuvent que me stresser davantage.

Pouvez-vous trouver un autre retournement ?


« Je ne devrais pas critiquer mon père. »
Je n’y avais jamais pensé.
Quand je ressasse encore et encore combien il est critique,
 je deviens moi aussi réellement critique envers lui.
Je critique le fait qu’il me critique.
Pas étonnant que nous continuions mutuellement
à « appuyer là où ça fait mal !».
Je suis juste en train de faire ce qui me met en colère chez lui.

Le résultat de l’investigation est souvent 
une meilleure appréciation de ceux qui nous entourent 
et la prise de conscience que ce n’étaient ni leurs paroles ni leurs actes 
qui nous blessaient réellement,
 mais nos pensées non questionnées à propos de leurs paroles ou de leurs actes. 
En jugeant la situation et en appliquant sincèrement le processus d’investigation,
 il est possible de transformer les expériences et les relations les plus traumatiques.

Nous voyons régulièrement cela à l’École pour Le Travail,
où des personnes ont recouvré la liberté intérieure
après toutes sortes d’expériences imaginables, y compris le viol et l’inceste.

Cependant nous n’avons pas à attendre une crise majeure 
pour recouvrer notre liberté intérieure. 

Nous pouvons juger nos patrons, nos partenaires, nos corps, 
nos comptes en banque et devenir libres du stress de nos vies dès maintenant. 

« La confusion est la seule souffrance » dit Katie. 
« Mettez votre confusion sur le papier, examinez-la, et libérez-vous vous-même. »

Tandis que la pratique du Travail leur devient plus familière,
de nombreuses personnes commencent vraiment à accepter les choses comme elles sont.
Et cela non parce qu’elle se sont dit à elle-mêmes
de « tout simplement accepter »
mais parce qu’elles ont compris que se disputer avec la réalité est douloureux et sans espoir.

Lorsque ceci est véritablement réalisé,
nous n’avons pas à stopper ces disputes — elles s’arrêtent d’elles mêmes.
Il en résulte une paix qui surpasse tout 
ce que nous avons espéré trouver au cours de nos interminables argumentations.

Si vous sentez qu’il peut vous délivrer, bienvenue au Travail.

(Extrait du site de Katie)

P.S. d'autres retournements peuvent aussi apparaître, testez-les :
 
Mon père ne devrait pas me complimenter.
Je ne devais pas me critiquer.
Je ne devrais pas critiquer mes pensées.

Sylvie, au service de ce questionnement

21 juin 2011

Réponse à un Chercheur "Sans Domicile Fixe"

Un extrait de son questionnement :


"Après avoir Un peu approfondi les documents que vous mettez à disposition, 
je me rends compte que vous relativisez tous les problèmes en termes de croyances. 
Du coup quand je tente d'appliquer votre travail,
je suis confronté à des solutions irrationnelles. 
Par exemple : 
je peux souffrir de la mort d'une amie que j'ai beaucoup aimée. 
Ma souffrance est bien réelle tout autant que sa mort. 
Autre exemple, actuellement ma compagne s'éloigne de moi 
et ce n'est pas une croyance non plus puisqu'elle me la dit, donc j'en souffre également.
Comment puis-je me persuader que quelque chose d'effectif n'existe pas afin de ne pas en souffrir? 

je suis perplexe, mais je compte sur votre lumière pour me guider dans cette errance."


La réponse de Sylvie :


On ne fait pas le "Work" pour se persuader du contraire !
Ce que vous pensez dans l'instant SEMBLE VRAI.
Le "Work" nous met tout simplement devant notre capacité à changer d'instant
et donc à changer d'instances...



Relativiser peut permettre de vous approcher d'une Puissance qui paraît illimitée.
Relativiser adoucit beaucoup de stress, de souffrances quand on peut le faire.
Le"Work" est aussi un entraînement à cette capacité particulière à l'humain de pouvoir relativiser.
La souffrance semble bien réelle...
Ce n'est pas le "Work" qui vous enlèvera cette idée de la tête.
Ou peut-être... 
Vous avez tellement raison, votre ressenti est juste !
Et tout le monde a 100% raison sur cette Terre, pas un seul qui ait tort !!!

Mais si vous ressentez une souffrance, quelle qu'elle soit,
osez la questionner avec les mots qui la définissent.
Nos mots peuvent nous libérer de tous nos maux,
expérimentez-le avec le "Work".

Si vous vous permettez de "relativiser" en adoptant rigoureusement le "jeu des opposés"
et en vous posant la question : "Est-ce que ça peut être vrai aussi ?"
Vos réponses pleinement sincères et honnêtes
peuvent vous permettre de reconnaître une autre Réalité :
celle qui est votre Rêve aujourd'hui et peut-être beaucoup plus.
Aimez-vous les Surprises ?

Le "Work" vous permettra, chaque fois que vous l'utilisez,
 de vous réveiller dans votre rêve, dans votre idéal, 
et de vous réveiller de tous vos cauchemars.
Je vous invite de tout mon coeur à l'expérimenter quotidiennement.

Qu'est-ce qu'une réponse pleinement sincère et honnête ?

Si c'est un OUI instantané, je me donne trois exemples qui prouvent que c'est vrai.
Si c'est un NON instantané, je prends le temps de me répéter l'affirmation, "l'instance", 
de laisser les mots vibrer en moi, 
je prends le temps de recevoir une pensée qui peut être nouvelle...
Et si ma réponse est toujours NON, 
j'ai le droit de dire : "NON, ce n'est pas vrai" 
alors je passe au retournement suivant.

De "Work" en "Work", mes yeux se décillent, 
j'enlève les "crottes d'yeux" naturellement, simplement,
un geste si naturel... 
et si le soleil ne brille pas trop fort, 
alors je n'ai plus besoin de lunettes noires
pour supporter la Lumière..."
Mais le soleil du matin est toujours très doux,
on peut même le regarder en face...

Faire le "Work", c'est se réveiller dans un jour tout Nouveau.
L'Homme Nouveau sur une nouvelle Terre :
On y pense, on en parle...
et on peut le faire aujourd'hui même !
L'univers nous y invite à chaque Instant...


Sylvie

15 juin 2011

Bâtir l'Avenir...le Passé et l'Avenir, un couple réconcilié !

1000 personnes, pas tant de jeunes, où sont nos jeunes ?
Ne se sentent-ils pas concernés par l’avenir ?…
Serait-ce vrai qu’ils n’ont plus d’avenir ?...qu’ils n’y croient plus ?
Bâtir l’Avenir…
Qui « donne la main » à l’Avenir ?
Quel est l'opposé de l'Avenir ? Le Passé ?
Le Passé et l’Avenir sont des opposés comme l’homme et la femme, comme le jour et la nuit.
TOUS les opposés forment un Couple qui peut marcher main dans la main !

Est-il possible de bâtir l’Avenir sans bâtir le Passé ?
Ceux qui veulent bâtir l’Avenir sont-ils prêts aussi  à bâtir le Passé ?
L’Avenir peut-il être meilleur si le passé ne devient pas meilleur ?
Et si l’Avenir devenait meilleur aussitôt que le Passé devient meilleur !

Qu’y a-t-il dans notre passé qui nous empêche aujourd’hui de vivre heureux ?
Quel ressentiment, quel accident, quel vécu, quelle déception, quel cauchemar ?
Quelles empreintes reste-t-il aujourd’hui de notre passé qui semblent indélébiles ?
Nous pouvons être littéralement débilités par les empreintes qui semblent indélébiles.

La bonne nouvelle, c’est que nous pouvons réellement « effacer » ces empreintes en les mettant face à soi, en les questionnant et en écoutant leurs histoires.
Toutes les empreintes du passé restent tant que nous n’avons pas reconnu ce qui est vraiment vrai, tant que notre interprétation des faits reste fausse ou injuste ! 

Si vous ne supportez pas le mensonge ou l’injustice, le « work » de Byron Katie peut révolutionner votre vie.
C’est un questionnement qui permet de vivre de plus en plus vrai, de plus en plus en accord avec soi, les autres et le monde.
La vérité est libératrice !
En questionnant nos jugements, nous faisons naturellement la Paix avec le Passé et l’Avenir, avec tous les hommes et toutes les femmes.

En paix avec le passé, l’avenir devient paisible et le bonheur du « Présent » explose.
L’Avenir est-il à bâtir ou à détruire ?
Nos jeunes ont peut-être déjà choisi intuitivement…
Plus d’Avenir, plus de Passé, il ne reste que le Présent.

Alors montrons l’exemple aujourd’hui !
Faisons du Présent un Présent glorieux,
Faisons de ce jour le meilleur des jours…pour nos jeunes, pour nous, pour tous !

Sylvie

Vous ne savez pas faire ce questionnement, 
vous voulez en savoir plus, 
vous en aviez entendu parlé mais vous n’en avez pas vu toute la puissance…

Prochains Stages 



Parlez-en autour de vous, le tarif est libre !

(Le tarif de référence est de 180 euros, le minimum de 70 euros, le maximum à votre convenance, modulez le tarif selon vos possibilités et pour toute suggestion, appelez-nous simplement.)

7 juin 2011

A tous ceux qui font de la Présence leur Désir

"Il faut que je sois dans la Présence..." 
me dit Evelyne ce matin.


Mais quelle est cette "Présence" qui éveille de plus en plus d'intérêt ?



Sujet qui amène sur un terrain qui peut être ardu,
alors je vous recommande une lecture plus attentive
pour vous relier à votre façon toute personnelle d'être "présent".


Deux définitions d'Evelyne :
- La Présence, c'est être là, vivante.
- La Présence, c'est être avec ce qui se passe.


Observons les retournements ensemble :


- La Présence, c'est être là, vivante.
Je suis vivant, donc je suis présent : Tellement facile !
car être vivant est un processus naturel et automatique,
mon corps fonctionne tout seul...



Mais est-ce difficile pour moi de me sentir vivant(e) ?
Qu'est-ce qui pourrait me séparer de la sensation d'être vivant(e) ?
Qui accusons-nous ?
Qui accusez-vous ?


La CULPABILITE peut peser si lourd dans la vie de chacun
Tous les ...J'AURAIS DÛ...JE N'AURAIS PAS DÛ...
Comment termineriez-vous ces deux débuts de phrases ?
Osez questionner ces convictions
et reconnaissez La "Présence".


La Présence, ce n'est pas être là, vivant(e),
c'est être ailleurs vivante.
Ai-je envie d'être ailleurs que là où je suis et je n'ai pas encore
fait les démarches qui me permettrait de changer certaines choses ?
Là ou ailleurs, quelle est la différence pour moi ?
Là ou ailleurs, ne puis-je pas quelque soit l'endroit, accéder à la Présence ?


La Présence, c'est être là mort(e).
Quand Katie commence une Ecole en 9 jours, elle annonce :
"Vous êtes ici pour apprendre à désapprendre et à mourir".
Faire le Work, questionner ses pensées,
c'est chaque fois "mourir" un peu et quelquefois beaucoup
et cela peut devenir  "mourir" passionnément et à la folie.


Quand on meurt, n'accède t-on pas à La Présence ?
Quelles sont vos croyances ?
Faut-il mourir pour accéder à la Présence ?
Est-ce le Corps qui empêche d'accéder à la Présence ?
Et pourtant, c'est par le Corps que nous reprenons contact avec la vie aussi...
Alors, qu'est-ce qui meurt ?
Que peut signifier : être là, mort ?




Faire danser les lettres ou les mots fait apparaître d'autres réalités 
qui peuvent nous éclairer :


Amusons-nous avec le langage des oiseaux :


- Être l'Amor ?
Il ne manquerait plus que la lettre U pour que le mot AMOUR apparaisse :
...la Présence, c'est être l'Amour...
Me manque-t-il le "U" dont la forme évoque un verre, un contenant...
Suis-je trop petit pour contenir l'Amour et donc accéder à la Présence?


- Être l'Âme OR ou l'Âme hors...
quand l'âme est "hors du corps", je quitte la sensation de "petit"
et j'accède peut-être à la Présence : l'Âme OR...


Et si vous êtes un récalcitrant au langage des oiseaux
et que vous préférez plus de rationnalité, reprenons :
La Présence, c'est être là, mort...


Qu'est-ce qui peut mourir tout en nous laissant la Vie ?
Serait-ce ce qui est nommé EGO ?
Souhaitez-vous la mort de l'EGO ?
Y-a-t-il autre chose qui peut mourir ?


L'absence, c'est être là, vivant(e)...
Aussitôt que je suis conscient d'être vivant, je m'"absente".
Le processus de conscience est directement lié au processus de séparation.
Peut-on être devenir plus conscient sans connaître de temps en temps la séparation ?


Et si nous vivons mal la séparation,
alors sans doute vivons-nous mal aussi l'Union.
Posez-vous la question,
posons-nous des questions
selon ce processus remarquable.

Et pour finir
La Présence, c'est être là, avec une façon de penser vivante.


Une façon de penser qui fait danser les mots,
qui fait embrasser les contraires
et qui fait rire, RIRE, sourire et pleurer aussi...de joie !


Vous voulez vous sentir plus vivant ?


Donnez de la vie à vos pensées :
Laissez les "libres de circuler"!

Venez apprendre cette merveilleuse façon de penser que transmet Byron Katie
et que nous enseignons avec passion et efficacité à des tarifs modulables
pour que cet enseignement reste accessible à tous.
Vous pouvez aussi choisir une relation plus individuelle
et opter pour les séances individuelles.


Avec Katie 
Ou encore :
Faire l'Ecole avec Katie en Allemagne du 29 juillet au 7 août. 
Vous trouverez tous les renseignements sur le site de Byron Katie : 



Et la deuxième définition d'Evelyne ?
La Présence, c'est être avec ce qui se passe.

Observons rapidement et prenez le temps de recevoir, 
de sentir comment cela peut être vrai aussi :

La Présence, ce n'est pas être avec ce qui se passe.

La Présence, c'est être avec ce qui ne se passe pas.
Il peut y avoir plusieurs sens :
...le non-changement......tout ce qui est éternel...
...tout ce qui ne se donne pas...

La Présence, c'est être contre ce qui se passe.
...quand je suis "contre/ anti" quelque chose ou quelqu'un, 
cela me rend-il plus vivant, plus présent ?
Est-ce que je passe ma vie à être "contre" quelque chose ?

La Présence, c'est être avec ce qui se passe dans mes pensées.
alors je fais du questionnement une méditation, 
une façon de vivre et je deviens de plus en plus libre de tout jugement.
Et se manifeste naturellement  une "acceptation" spontanée.
"Aimer ce qui est"...est-ce une forme de Présence ?

- L'absence, c'est être avec ce qui se passe...
Suis-je dans une forme d'Absence quand je m'intéresse à "ce qui se passe" ?

Et vous,
 quelle est votre définition de la Présence ?
N'hésitez pas à la communiquer dans les commentaires,
nous y répondrons avec tous les retournements possibles.

BIENVENUE au "Work" de BYRON KATIE !


Sylvie