Quoi de plus rapide que le Travail de Byron Katie pour retrouver l'Equilibre et la Joie...Initiez-vous :
Avec Sylvie Boute, psychopédagogue, depuis 7 ans au service de la diffusion du Work auprès des enfants, des adolescents et des adultes de tous âges.



Nous proposons, en TARIF modulable selon les ressources, des STAGES d'initiation et d'approfondissement du Travail de Byron Katie + des CONSULTATIONS, et sur ce blog de nombreux sujets...avec les "retournements".

20 avr. 2011

Je n'ai pas envie ... est-ce que c'est vrai ?

Combien de fois sommes-nous confrontés à la non-envie
pour soi et pour les autres.
Aujourd'hui l'envie est devenue si puissante
qu'il devient difficile de faire quoi que ce soit sans l'envie.

Allez apprendre quoi que ce soit à quelqu'un qui n'a pas envie !
Et quand on n'a pas envie, difficile de nous faire bouger...
Et pourtant...

J'ai envie ...
Je n'ai pas envie...
Comment termineriez-vous ces débuts de phrases ?

Allons plus loin :

Je n'ai pas envie de ...
Est-ce que c'est vrai ? Absolument vrai ?
Réactions ?
Qu'est-ce qui m'empêche d'avoir envie de ce qu'on me propose ?

Est-ce que je me connais vraiment ?
Suis-je déterminé à ce point ?
"Je sais qui je suis et ce que j'aime ou n'aime pas ?"
Et si l'Univers était un intime qui me propose quelque chose
comme un parent propose de goûter un plat à son enfant
parce que c'est bien de découvrir de nouvelles saveurs ?
Nos parents nous encouragent et l'Univers aussi...


Vous savez déjà que vous n'aimiez pas dans le passé,
vous avez connu la même situation
et vous savez que c'est pareil aujourd'hui...
et donc nous vivons dans les croyances du passé...
le passé n'est-il pas meilleur que le présent,
et le présent bien inquiétant peut-être ?


Avons-nous envie de nous ouvrir au nouveau ?
Nous targuons-nous de faire partie de ceux qui font avancer le monde ?
Pensons-nous que nous avons des idées d'avant-garde ?


Qui serais-je sans la pensée "Je n'ai pas envie" ?
Est-ce que je m'ouvrirais à redécouvrir une ancienne croyance ?
Vivre le nouveau avec l'ancien ?
Oser ne pas limiter ma connaissance de moi...
Oser ne plus dire NON
Oser s'engager dans un "oui, tout de suite"
et c'est l'univers entier qui vous dit oui tout de suite.

Quand rêve et réalité se tiennent la main
N'est-ce pas ce dont nous rêvons ?
Réaliser nos rêves rapidement ?
Quitter toute souffrance ?
Devenir encore plus riche de connaissances, d'amis, d'argent, de passions..
                                                     
Être de plus en plus heureux sur une terre en paix ?
Quitter l'injustice ? le mensonge ?

Comment donner envie à celui qui croit ne pas avoir envie ?
Comment réveiller le désir ?
Comment réveiller le désir "amoureux" ?


J'ai envie de ...

Quand je reconnais le connu et que j'y ai associé du plaisir.
Quand je reconnais que c'est le moment pour moi
Quand c'est moi qui décide.

Je ne suis pas "en-vie"(de l'auxiliaire avoir à être)
Chaque fois que je dis non à une proposition,
c'est une forme de non-vie
"Je ne t'accompagne pas dans cette vie-là
j'ai appris à dire non et c'est ma liberté de dire non"
Suis-je vraiment libre quand je dis non ?

Je n'ai pas envie de moi
ou je n'ai pas envie d'émoi
Quelle pub se fait-on à soi-même ?
ou je n'ai pas envie de moi avec cette pensée...
Et pourquoi ?

Aurais-je une représentation de moi, une image de moi
que j'essaie de conserver, de faire durer, à laquelle je m'accroche
Je ne suis peut-être pas prêt à changer mon image de moi,
mon idée de moi, mon caractère,  ma carapace.
Mon idée de moi est plus importante à préserver
que d'imaginer penser transformer "je n'ai pas envie"
en "j'ai envie".

Observons ce que "l'Univers" nous propose chaque jour :
serait-il possible que l'Univers ne nous propose que ce que l'on désire déjà...
Désir non reconnu par nous.
Soyons attentifs à notre réponse "non, je n'ai pas envie".
Serait-il possible de s'ouvrir à un "oui",
qu'il soit "oui, tout de suite" ou
"oui, plus tard".
Observons ce qui nous empêche de dire OUI
et questionnons nos raisons.
C'est une voie de "réalisation" ultra-rapide,
je dirais même que c'est la ligne la plus directe
pour vivre sur une terre de paix.
Pourquoi ne pas essayer.
Qu'auriez-vous à perdre ?

Et si vous vivez seul,
et qu'il n"y a personne pour vous demander quoi que ce soit,
essayez d'écouter vos pensées
et de dire "OUI à vos pensées."
 (Si vous ne savez pas ce que cela veut dire,
cela fera l'objet d'un prochain article.

Et si l'"Eveil" vous attire, essayez "FAST FOOD".

19 avr. 2011

Le rôle du facilitateur

C'est ce qu'il y a de plus difficile à bien faire car nous avons des habitudes de communication différentes et même opposées au processus qu'enseigne Byron Katie.
Nous nous faisons la guerre avec les mots et ce sont ces mêmes mots qui nous font faire la paix.

Bienvenue aux volontaires !

Le facilitateur nomme la personne, 
pose toujours les mêmes questions,
invite à oui, non ou je ne sais pas pour les 2 premières questions,
ne pose pas la 2ème question si la personne a répondu "non" ou "je ne sais pas" à la première.

Il est transparent : il ne pénètre pas dans l'histoire de la personne :
Les mots appartiennent à l'histoire de la personne et révèle son histoire,
Le facilitateur n'impose pas ses propres mots.
Il peut suggérer une réponse s'il a l'autorisation de la personne.
Il est attentif : il regarde la personne
Il fait le travail en même temps que la personne mais pour lui, il regarde en lui.

Quand la personne ne trouve pas d'exemple aux retournements, le facilitateur pense en silence;
Il y a les plus grandes chances que la personne entende ses silences.

A chaque retournement, le facilitateur demande : "Est-ce que ça peut être vrai aussi ?"

Le facilitateur est attentif à ce que les mots opposés soient effectivement des contraires :
il questionne :
"Est-ce que ..X... est l'opposé de .......Y..........?
Il peut suggérer un opposé si la personne n'a pas d'idée et lui demande de l'aide.
Il peut proposer son aide mais pas l'imposer.

Le facilitateur est attentif au temps :
il ne s'éternise pas à poser toutes les sous-questions si la personne a besoin d'aller plus vite.

Le facilitateur est très à l'écoute : il gère les questions utiles et le temps.
Il sait qu'un Work peut être court ou long.
Il sait que les émotions vont et viennent et assure un présence discrète et bienveillante.

Le facilitateur devient de plus en plus conscient de la puissance du silence.
Au fur et à mesure de son expérience, il se rend compte que "son" silence agit.

Le facilitateur demeure patient : il n'oblige aucune réponse.
Il reste enraciné dans l'invitation bienveillante.

Il laisse la personne se révéler à elle-même; il a confiance que la personne peut le faire.
Le facilitateur est au service du processus : il a confiance que l'outil est parfait.
Son attitude permet à la personne de se sentir en paix et en sécurité même s'il touche des zones sensibles,
ce qui ne manquera pas d'être mis à jour.

Le facilitateur sait que le processus agit à 100% quand la personne répond aux questions.
Il est confiant et n' a aucun doute sur les résultats du processus.
Mais il reste silencieux sur ce sujet et ne promet pas monts et merveilles.
Il laisse la personne découvrir la magie du processus qui opère après.
Il sait qu'on ne fait pas le work pour obtenir un résultat précis :
Il apprend à se laisser surprendre agréablement.

Le facilitateur est un témoin d'une neutralité bienveillante : il ne juge pas, il est comme une grande oreille.
Les effets du Work réguliers sont magie pure :
le facilitateur apprend à taire son enthousiasme et laisse se réjouir celui qui répond.

Le work est un processus de paix, de pardon : le facilitateur se réjouit d'être témoin de ce processus.

Le facilitateur développe naturellement une attitude d'humilité devant la puissance de ce questionnement.
Ce n'est certainement pas lui qui fait.

Le facilitateur considère la personne comme son égal et peut se questionner en même temps qu'elle.
Il est très à l'écoute et peut croire voir beaucoup plus de choses que la personne.
Le facilitateur n'impose pas sa vision, sa compréhension, il laisse la personne s'éveiller à sa propre compréhension.Le facilitateur n'intervient pas dans l'histoire de la personne.

Il ne cherche pas à mettre la personne en défaut.

Le facilitateur vérifie si les conseils ou les explications qu'il veut donner ne sont pas d'abord pour lui.

Le facilitateur développe des formes de subtilité attentive.
Il a conscience que les 2 en présence travaillent ensemble et peut-être autant l'une que l'autre.
Le facilitateur reconnaît que le travail de la personne est aussi son travail, une zone à mettre en lumière pour lui aussi.

Le facilitateur est vigilant à ne pas poser des questions inadéquates.
Il sait qu'il est un apprenant et qu'il peut aussi faire des erreurs alors il développe clémence et bienveillance avec lui tout autant.

Le facilitateur et la personne se remercient mutuellement.
Ne perdez pas courage si vous ne vous pensez pas à la hauteur quand vous lisez toutes les qualités du facilitateur :
Qui a dit que nous devions être parfait ?
Chacun fait de son mieux et ce qui se passe est pour le mieux même si nous n'en sommes pas encore conscients.

Le facilitateur consciencieux fait un travail sur les jugements qu'il a eu tout au long du processus de questionnement sur la personne et sur ses propres jugements.

Le "Work", c'est d'apparence simple mais pas si facile.
Persévérons, les fruits sont instantanés et abondants.
Merci à Byron Katie.

16 avr. 2011

Le "Work" , un miroir parfait.

Toujours propre,
toujours juste,
toujours impartial,
Qui suis-je ?
toujours transparent :
Le Miroir dont on ne peut plus se passer.

"Miroir, mon miroir, dis-moi qui est la plus belle ?"
- Je suis Celui qui est pure Beauté, tu n'es qu'un reflet de Moi,
répond le miroir...
"Tu ne peux que refléter ma Beauté, tu n'es que mon Image..."
(Lire la suite)

Le "work" de Byron katie révèle la Réalité de ce qui est.
Il est le miroir parfait de l'œil qui regarde.

Mais tout est à l'envers...
La Réalité est vraiment renversante !
Est-ce que j'aime tout ce que je vois ?
Alors je questionne
et je suis de plus en plus amoureux de la vraie Réalité.

15 avr. 2011

Fukushima : mettre la catastrophe sous contrôle citoyen.

La centrale de fukushima
Osons questionner ce que nous disons,
non pas pour dire que c'est faux,
nous savons que c'est vrai,
mais pour augmenter notre conscience.
N'est-ce pas ce que vous, Lecteur, vous cherchez ?

Se questionner en suivant strictement les instructions simples
que donne si merveilleusement Byron Katie avec le "Work",
nous introduit simplement à une ou plusieurs vérités au moins aussi grandes.

N'avons-nous pas envie de plus de vérités ?
N'êtes-vous pas, vous Lecteur, un chercheur de vérités ?
N'avez-vous pas envie de vivre plus vrai, plus authentique ?
Alors je questionne mes croyances...

(La "méthode" du "work"est sur la 2ème page de notre site thework.fr
mais mieux détaillée sur le site de Marie Lasne theworkfrance,
n'hésitez pas à y aller pour découvrir le processus.
Mieux encore : les livres de Byron Katie
et nos stages, en Tarif libre, vous permettront d'être très bien accompagné si vous le désirez.)

Fukushima : mettre la catastrophe sous contrôle citoyen.



Traditionnelles questions : 

Est-ce que c'est vrai ? absolument vrai ?
Réactions ?
Mais qui serais-je sans cette pensée ?

- Quelqu'un d'inconscient qui n'y pense pas ?
"Moi, je suis pour la conscience alors je dis aux autres ce qu'ils doivent faire
parce que moi je sais comment on devient conscient"...



Retournements :



Le Pouvoir ?
Fukushima : ne pas mettre la catastrophe sous contrôle citoyen.


Fukushima : mettre la catastrophe sous contrôle du pouvoir politique.

Ils ont des moyens que je n'ai pas.
Ils sont plus puissants.
Ils sont assurément mieux placés que moi pour intervenir.

Fukushima : mettre la bénédiction sous contrôle citoyen.

Je suis anéanti par les inconvénients terribles de ce qui se passe.
Serait-il possible que je m'ouvre aux avantages de cet événement ?
Pourrait-il y avoir un avantage ou plusieurs à ce que l'on nomme catastrophe ?
d'ailleurs quelle que soit la catastrophe !
Avez-vous vécu des catastrophes dans votre vie ?
Vous ont-elles anéanti ?
Êtes-vous mort ?
Ou vous reste-t-il un souffle de vie, un souffle d'espoir qui vous permet de continuer ?
Vous êtes-vous relevé ?
Vous ont-elles enrichi ?
Je suis entièrement responsable d'enrichir ou d'anéantir ma vie.
Quels bénéfices ai-je à vivre mon regard fixé sur les inconvénients,
fixés sur les peurs ?

Et si j'osais regarder au moins 1 seul avantage...
Ça vaut le coup d'oser !
Pas seulement pour Fukushima, pour tout le "pire" de votre vie.
Le "mal", peut-il aussi porter du "bien" ?
Peut-il exister 1 seule situation sur terre ou il n'y ait que des inconvénients ?
Réfléchissez et merci de la communiquer dans les commentaires,
vous aurez peut-être des réponses.
Si nous voulons vraiment une vie meilleure,
apprenons à ouvrir les yeux sur les avantages :
le Bien, le Beau, le Bon
et observons comment, instantanément, notre vie devient...

Alors, Fukushima, avantages ?
J'ai entendu une collègue dire et nous faire rire :
"Les canons de beauté vont changer, tant mieux, finie la tyrannie des canons d'aujourd'hui !"
Un canon de beauté, incroyable d'utiliser ce mot d'ailleurs.
Un canon, c'est fait pour tuer !
Les canons de beauté d'aujourd'hui font-ils des ravages parmi nous ?
Concours:
Qui va faire plus de "mort-vivants" ?
Les canons de beauté d'aujourd'hui ou Fukushima ?
Je vous laisse à votre réflexion...

Oser se questionner, c'est révolutionner sa pensée
et vivre libre, riche, joyeux et plus encore!
A chacun de trouver ses avantages.
C'est notre travail essentiel.

Et continuons :

Fukushima : mettre la catastrophe sous lâcher-prise citoyen.

Soyons clairs !
Le lâcher-prise...combien sommes-nous à le chercher ?
Et bien, voilà une belle occasion de faire du lâcher-prise !
"Ah oui mais pas ça !"
Qui sommes-nous pour décider ce qui est bien ou mal ?
Si nous résistons à ce qui est alors nous souffrons.
Et nous n'aimons pas souffrir !
Mais la souffrance a plusieurs avantages, lesquels ?
Au moins un :
Je suis obligé de faire avec quand elle est là.
Et aussitôt que je vais regarder les avantages,
peut-être va-t-elle me quitter...Qui sait ?
Ça vaut le coup d'expérimenter.
Donc, à moi de lâcher-prise.
Et quand je lâche prise, je suis mille fois plus efficace dans mes actions,
avez-vous remarqué ?

Fukushima : mettre la catastrophe sur contrôle citoyen.

Citoyens !
C'est le moment de nous surcontrôler :
Contrôlons toute influence physique de la radio-activité.
Augmentons nos contrôles.
Nous le savons : il vaut mieux prévenir que guérir !
Donc, je fais ce que j'ai de mieux à faire
et je lâche ensuite, sachant que j'ai fait au mieux !
Et je continue de vivre heureux autant que je le peux,
c'est ma responsabilité !
Pâques 2011 : les plus belles cloches de Pâques ! Je vis heureux quoi qu'il arrive...

Moi-même : mettre ma catastrophe sous mon contrôle de citoyen.

Quand je m'affole ou me hante avec une catastrophe,
je peux être  une catastrophe pour moi-même (je cesse aussitôt d'être bien)
et j'empoisonne peut-être les autres aussi.
Alors, j'essaie de devenir un vrai citoyen responsable.
Je m'investis politiquement avec moi-même :
Je fais la "langue de bois" et je regarde ailleurs,
(comme un homme politique pourrait le faire)
chaque fois que je vois une catastrophe,
je cherche mes bénéfices et je m'enrichis à tout point de vue
en étant déjà plus heureux.
Vous n'imaginez pas à quel point on vit plus heureux
quant on sait regarder aussi les avantages.
Prêt à faire la "balance" ?
Alors je le fais et je deviens un vrai citoyen de ma vie politique :
Je regarde à droite, à gauche (avantages, inconvénients)
et je me place peut-être, au centre :
je prends les avantages et les inconvénients
ou bien à droite : les avantages...
ou bien à gauche : les inconvénients...
Qui suis-je politiquement ?
Devenons tous de "vrai de vrai" citoyens !
Osons parler des avantages et des inconvénients sur la place publique !
Devenons de nouveaux politiques !
...de vraies balances...
Ça vous tente ?

9 avr. 2011

Nouveau au "Work" de Byron Katie?

Si vous êtes nouveau au "Work", le mieux est de commencer à investiguer
tout ce qui vous dérange dans les autres, le monde et vous-même,
ainsi que le propose Byron Katie.
Puis vient le moment où vous avez envie de questionner vos convictions.
et la puissance de ce questionnement semble augmenter.
Enfin, vient le jour où vous questionnez tout
et même les affirmations de grande sagesse.
comme "qui regarde en lui-même s'éveille".
et c'est l'accomplissement tranquille d'une compréhension abandonnée
à la réalité bienveillante de ce qui est.
Chaque pensée questionnée est comme le lapidaire qui taille la pierre, le diamant
afin qu'il reflète de plus en plus la lumière.


"Tu n'y verras clair qu'en regardant en toi. (et en les autres ?)

Qui regarde l'extérieur, rêve. (ou cauchemarde ?)

Qui regarde en lui-même, s'éveille."
 

 [Carl Gustave Jung]

Est-ce que c'est vrai de manière absolue ?
Observons :


Qui regarde en lui-même s'endort...
Celui-là s'endort au monde extérieur car il peut reconnaître que le monde est lui.
S'endormir signifie glisser dans le repos et celui qui regarde en lui
petit à petit peut cesser toute guerre, toute division.

Qui regarde en les autres s'éveille...
Quand on voit que les autres sont notre miroir.
Que le monde extérieur est la projection de nos pensées.
Que l'on ne peut voir que soi.
Que tous les bons conseils que nous prodiguons sont en premier pour soi,
avez-vous remarqué ?

Qui s'éveille en lui-même regarde...
D'un autre regard :
d'un regard qui voit l'unité de tout
et la perfection de ce monde
...Le Créateur lui parler
Karl Gustav Jung  (1875-1961)
par la bouche de chacun, de chaque onde.
...Les mondes se rassembler devant Lui.

Qui regarde en ses pensées s'éveille...
A développer une relation particulière avec chaque pensée.
...à dialoguer avec chaque pensée.
...à aimer toutes les pensées.
...à une véritable méditation.
...à la vision des pensées.

Merveilleux protocole qui dévoile le trésor de chaque pensée.
(Merci à Byron Katie)

3 avr. 2011

La dyslexie est un véritable problème...est-ce que c'est vrai ?

DYSLEXIE  merveilleuse capacité...

Le regard habituel :

Des difficultés sont observées lors de l'identification des mots
  • des confusions phonétiques, auditives ou visuelles ;
  • des élisions, adjonctions ou inversions de lettres ;
  • une lenteur dans le traitement des éléments lus.
Deux types d'atteinte sont distingués :
  • la dyslexie dysphonétique (ou dyslexie phonologique, ou dyslexie profonde) est une difficulté/impossibilité à convertir les graphèmes en phonèmes (procédure d'assemblage déficiente) ;
  • la dyslexie dyséidétique (ou dyslexie lexicale, ou dyslexie de surface) est une difficulté à mémoriser la forme globale des mots (procédure d'adressage déficiente).
Un autre regard :
(nous reprenons les mêmes observations que nous complétons à la lumière des retournements.)

Des facilités sont observés lors de l'identification des mots :
et quelles facilités ?
La personne est-elle en fait, capable de voir à travers le mot, de faire danser les lettres et de rendre le mot vivant ?
C'est ainsi que LA devient AL (Allah ?)
que AR devient RA (dieu du soleil ?)
que LE devient EL (les Elohim ?)
que les lettres dansent et animent les mots d'un autre souffle.

Les mots sont-ils devenus des lettres mortes, qui ne dansent plus ?
Pouvons-nous laisser la dyslexie exister et les lettres renversées nous redonner une vie nouvelle ?
Est-ce la fonction de la dyslexie ?

On estime qu'elle touche de 8 à 12 % de la population !
Ces personnes sont naturellement attirées par la danse des lettres, redonner vie à la lettre, aux lettres et au sens littéral.

L'identification des mots est liée à notre capacité à nous identifier, à créer une identité solide et performante.
Mais ces personnes ne seraient-elles pas naturellement attirées par le processus de désidentification naturelle
dans le chemin de la quête (qui suis-je?)

Dans ses efforts pour écrire comme "tout le monde" (tout le demon...),
la personne dyslexique souffre de sa différence qui l'éloigne des hommes qui écrivent "droit".
La personne  dyslexique peut vivre une double séparation :
avec les hommes et avec elle-même,
et peut expérimenter une grande solitude et vivre dans une vive incompréhension.

Et si l'inversion des lettres manifestait la volonté de l'âme à retourner en "Dieu"?
Faire le Retour...
"Retournez-vous" nous demande le Christ "et redevenez comme de petits enfants"...
Je peux vous témoigner, en tant qu'enseignante en maternelle,
que les enfants qui apprennent à écrire leur prénom font naturellement "danser" les lettres !
Inverser...opposé, contraire, tous ceux qui pratiquent le "Work" de Byron Katie
n'ont-ils pas observé la magie de l'inversion pour comprendre l'incompris ?
L'in-com-pris...
Qu'est-ce que je n'ai pas pris avec moi ?
Excellente inversion qui manifeste une autre réalité aussi vraie, voire plus vraie.
Seule "l'ondulation de votre cœur" peut vous indiquer la vérité.
A chacun de ressentir ce qui est vrai...

Ne serait-ce pas tant les mots que les personnes dyslexiques identifient difficilement,
mais bien plus les silences, le Silence?
La personne dyslexique, cherche-t-elle à faire parler les silences, le silence ?

Calligraphie du plus grand Nom
Le silence est défini comme l'absence de tout bruit, toute agitation.

La personne dyslexique a-t-elle dans son histoire, ses gènes,
une expérience difficile du silence :
Le silence serait-il bruyant et agité,
alors les lettres font du bruit et s'agitent !

Qu'entendent donc les personnes dyslexiques dans le silence ?

Et si ce qui est observé comme
"des confusions phonétiques, auditives ou visuelles"
était un silence, habité par des sons et des visions plus ou moins confortables,
le plus souvent incompris car non expliqués
puisque n'ayant pas retenu l'attention des adultes autour de la personne dyslexique.

La personne dyslexique cherche-t-elle à s'unir au Créateur, à vivre en Lui ?
A-t-elle du mal à exister pour elle-même, à se re-con-naître
et donc elle peut oublier des lettres, en rajouter...
et exprime un désir de Retour en inversant le sens des lettres.

"une lenteur dans le traitement des éléments lus."
A la lumière de ce qui précède, pouvez-vous recevoir que
 les personnes dyslexiques sont peut-être :
- rapides dans le traitement des éléments lus  :  vont-elles trop vite et manquent-t-elles d'attention à l'ordre des lettres
- lentes dans le traitement des éléments entendus (dans les silences...)

"impossibilité à convertir les graphèmes en phonèmes"

Et pourquoi ?

Thot, dieu des scribes
Dans les mondes du silence, la personne s'est-elle retrouvée
devant le graphisme/la calligraphie du Nom de Dieu
et a-t-elle été incapable de le convertir en son ?
Le Nom imprononçable ?
Et pourquoi pas ?
Et quel silence est celui de "Dieu" ?
Ou y-a-il eu, plus tôt,...
Thot : Dieu des scribes et de la parole créatrice, et chargé de l'écriture et la lecture...
 Y-a-il eu, plus tôt, une impossibilité à convertir les phonèmes en graphèmes :
les sons entendus dans le silence, un silence "bruyant"...
qu'a donc entendu la personne dyslexique dans "le silence" ?
et quel silence ?
Un "silence" familial ?
Une lourde histoire jamais exprimée ?
Un silence bruyant...
...un signal audio est considéré comme silencieux si son niveau sonore est en dessous de 40dB.
Que s'est-il passé dans l'enfance, dans le temps sans mots, une expérience peut-être pénible avec des sons bien au dessus  de 40 décibels...



"difficulté à mémoriser la forme globale des mots (procédure d'adressage déficiente)."
Ne serait-ce pas, plus tôt (Thot, encore lui ?), une difficulté à mémoriser la forme précise des mots (maux ?) ?
ou bien une difficulté à oublier la forme globale des mots (maux ?)
ou encore une difficulté à mémoriser la déformation globale des mots !

N'oublions plus que la personne dyslexique n'oublie pas Dieu !
Savons-nous écouter les silences ?
Sommes-nous dérangés par le silence ?
Il est des silences qui dérangent les lettres !

Si la dyslexie est un problème alors 
la non-dyslexie l'est aussi.
Et si la dyslexie était une solution et méritait un entraînement scolaire et extra-scolaire ?
(lire l'article 1er avril 2011 à Sames)
On peut tellement rire, s'amuser et comprendre autrement avec les lettres.
Savoir faire danser les lettres et les syllabes s'appelle aussi langage des oiseaux,
il ne manque plus que les ailes ou les aurait-on déjà...

Tout est possible...
L'exercice du "Work" ouvre l'esprit au possible et au "vrai-semblable".
Avez-vous remarqué ?
A chacun de juger et de comprendre
pourquoi une affirmation quelle qu'elle soit nous semble fausse
et d'investiguer nos raisons une par une.



2 avr. 2011

"Nous creusons notre tombe avec nos dents"...est-ce que c'est vrai ?

"Nous creusons notre tombe avec nos dents"...

Est-ce que c'est vrai ?
Absolument vrai ?
Comment je réagis quand je crois cette pensée ?
Qui serais-je sans cette pensée ?

Nous édifions notre tombe avec nos dents...
Nos poubelles !, nos déchets !
Les pyramides d'Égypte ?

Nous creusons notre tombe avec notre langue...
La médisance est-elle une forme de crime ?
Une langue longue raccourcit la vie (proverbe persan)
La Langue est la ruine de l'homme (Égypte)
Le glaive a 2 tranchants, la langue en a 100 (proverbe annamite)

Nous creusons notre vie / notre vide avec nos dents..
L'avidité, 1 mal ou 1 bien ?
ambition démesurée, avidité, vouloir à tout prix ?
Qui oserait se sentir un "requin" ?
En connaissez-vous ?

Notre tombe nous creuse avec nos dents...
Ça vous parle ?

Nous creusons notre tombe avec nos pensées...
Est-ce que ça pourrait être vrai ?
Nos pensées pourraient-elles nous faire tomber dans la tombe
et quelles pensées ?
Quelles pensées ai-je qui m'empoisonnent ?
Jalousie, avidité, haine, colère
et leurs opposés ?
Une forme d'indifférence, une forme de satiété, une forme d'amour, une forme de calme ?

OSONS ÊTRE VRAIS !
STages Spontanés à Peyrehorade (40)
chaque lundi de 09H30 à mardi 18H00 sans discontinuer
tarif laissé à votre bon vouloir.