Chacun sa définition, bien sûr,
chacun avec une relation différente à l'obéissance, de la soumission à la révolte,
et des retournements saisissants de vérités toutes plus vraies les unes que les autres :
Si vous pensez qu'obéir c'est abdiquer sa volonté propre, vous pouvez observer que :
la vie vous invite en ce moment à abdiquer votre volonté "sale"
et la vie vous invite aussi en ce moment, à vouloir votre propre abdication
Si vous pensez qu'obéir, c'est faire ce que l'autre vous demande,
alors vous pouvez observer en ce moment que :
la vie vous invite à faire ce que vous demandez à l'autre.
Si vous pensez qu'obéir, c'est renoncer à ma liberté,
alors vous pouvez observer en ce moment que :
la vie vous invite à libérer votre "renoncement" (lequel ?)
et aussi à renoncer à votre prison (laquelle ?).
Si vous pensez qu'obéir, c'est se soumettre à un ordre,
vous pouvez observer en ce moment que :
la vie vous invite à vous ordonner la soumission
et qu'elle vous invite aussi à vous soumettre à un désordre (...apparent ?)
Et d'autres invitations toutes plus intéressantes les unes que les autres.
Vous voulez comprendre ce que vous n'avez pas encore compris ?
Questionnez et retournez vos pensées.
Entre soumission et révolution, y-a-t-il un point commun ?
OUI :
La Terre est "soumise" au soleil et fait une révolution constante autour du soleil...comme nous : Notre soumission à l'Ordre de l'Univers dépend de notre capacité à révolutionner notre façon de penser.
Et quoi de mieux que le Travail de Byron Katie pour faire tourner nos pensées ?
Plus quelqu'un ressemble à un insoumis plus il manifeste une forme de soumission,
avez-vous remarqué ?
Observez les "Insoumis" dans votre entourage.
Si vous questionnez vos révoltes les plus intenses, vous y trouverez la racine de votre soumission, de votre obéissance.
Nous pouvons aussi vous accompagner dans ce questionnement si vous le souhaitez.
Nous questionnons...
jusqu'au jour où seul subsiste ce qui est
jusqu'au jour où seul subsiste ce qui est
sans que nulle pensée
ne vienne vouloir changer ce qui est.
ne vienne vouloir changer ce qui est.
Et tant que nous ne sommes pas conscients de cette réalité déjà présente, tant qu'il nous est difficile "d'obéir" à nos "très proches" alors, il nous est difficile de nous "obéir" à nous-mêmes.
Nous avons des "enfants obéissants" quand nous obéissons à nos pensées.
Mais nos enfants ne peuvent être, en réalité, qu'obéissants :
Ils obéissent aux mêmes pensées auxquelles nous obéissons nous-même.
Un jour (aujourd'hui si vous questionnez), l'obéissance prend un nouveau / ancien sens : le même que désobéissance.
Sylvie, souvent soumise à la révolution des pensées et quelquefois révoltée face à la soumission à une idée fixe (la mienne autant que celle de mes proches), comme vous ?
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