RDV sur la place, à gauche du cinéma |
"Mon ami(e) a un cancer"...Est-ce que c'est vrai ?
"Mon ami(e) a un cancer"...Est-ce vrai de manière absolue ?
Attention : On ne fait pas ce travail pour nier une réalité mais pour réaliser ce que l'on peut nier...Cette question est tellement précieuse pour peut-être ouvrir une petite porte qui laisse passer un peu de lumière/d'espoir. Laissez cette question chaque fois vous habiter devant une grande émotion et voyez comment naturellement nous pouvons, parfois si facilement, quitter une vérité absolue.
"Mon ami(e) a un cancer"...Comment réagissez-vous physiquement, mentalement ?
Notez le niveau de bouleversement émotionnel et toutes les pensées associées.
- "Elle va mourir"...(Mais n'allons nous pas tous mourir et nous ne savons pas quand?)
- "Elle ne se projette plus dans l'avenir"...(notait un participant qui a passé sa vie à ne pas se projeter dans l'avenir :))
"Mon ami(e) a un cancer"...Qui serais-je sans cette pensée ?
Question si précieuse aussi pour observer ce qui apparaît de soi à ce moment-là.
"Mon ami(e) a un cancer"...
= mon ami(e) n'a pas le cancer...
Y aurait-il des exemples ? Y-a-t-il des parties du corps non touchées ? Ce regard peut-il permettre de relativiser aussi la force de cette pensée que nous avons peut-être transformé en bombe.Observez la place réelle de ce cancer et la relation que vous entretenez avec cette information.
"Mon ami(e) a un cancer"...
= J'ai un cancer, dans ma façon de penser...
Un "vrai" cancer (peut-être) mais une forme de pensée cancéreuse...observez :
Qu'est-ce qu'un cancer ? C'est une "mal-a-die" caractérisée par une prolifération cellullaire qui transmettent une information faussée, avec une insensibilité aux signaux et mécanismes anti-prolifératifs et donc une capacité proliférative qui n'est plus limitée (croissance à l'infini)...
N'avons nous pas quelquefois la très mauvaise habitude de transmettre des informations non vérifiées et peut-être fausses, informations qui quelquefois se répandent comme une traînée de poudre dans les populations et aujourd'hui encore plus sur internet !
Que voulons-nous vraiment ?
Stopper la prolifération d'informations fausses ?
Qui commence ?
Pourrait-on , à la lumière de ce questionnement (merci Katie) retrouver la bonne habitude déjà transmise largement par Socrate, par bien des scientifiques et tant d'autres qui prônent la vérification des informations, et peut-être se laisser inspirer par cette "Parole Cachée n°44" si juste de Baha'u'llah :
Ô compagnon de mon trône !
N'écoute pas le mal et ne vois pas le mal ;
ne t'abaisse pas et ne
laisse échapper ni soupirs ni pleurs.
Ne dis pas de mal afin de ne pas
en entendre dire,
et ne grossis pas les fautes des autres pour que les
tiennes paraissent moins grandes ;
ne souhaite l'humiliation de
personne, afin que la tienne ne soit pas dévoilée.
Passe donc les jours
de ta vie, qui sont plus courts qu'un moment fugitif,
en gardant ton
esprit sans tache,
ton coeur immaculé, tes pensées pures et ta nature
sanctifiée,
afin que, libre et heureux, tu puisses quitter cette forme
mortelle pour te rendre au paradis mystique
et habiter à jamais au
royaume éternel.
Une dernière question : Avons-nous des bénéfices secondaires quand nous sommes "malades" ? Une attention nouvelle de soi, des autres ? Et si nous pouvions avoir cette attention nouvelle sans la maladie ?
C'est ce que propose Byron Katie avec le formidable travail si simple et si puissant du Work.
Bienvenue au Travail.
A Peyrehorade avec Sylvie, au service de la diffusion des bonnes informations, comme vous ?